dimanche 6 février 2011

Propose des cours de mécanique, d'entretien et de maintenance automobile avec photos

Propose des cours de mécanique, d'entretien et de maintenance automobile avec photos 

La pompe à huile, fonctionnement de la pompe à Huile

Dès qu’on entend parler de pompe à huile, on pense immédiatement à la mécanique auto-moto. Mais en fait, la pompe à huile se voit dans beaucoup de mécaniques: les deux roues surtout, les machines utilisées dans l’emballage des cafés moulus par exemple ou d’autres produits alimentaires, dans les machines pour bois. La pompe à huile est une pièce qui s’engrène avec une autre pièce principale pour lubrifier le système d’engrenage, en général pour faire tourner un engin, ou pour créer une pression au bout d’une ouverture. Bien entendu, selon le type de pompe et la fonction de la machine dans laquelle elle est incrustée, le mécanisme diffère d’un système à l’autre et d’une mécanique à l’autre. Les machines à pompe rotative, ce sont des machines qu’on utilise surtout dans la manutention de bois ou de marbre, dans l’emballage sous vide de produits alimentaires, avec lubrification des pièces en contact et en mouvement. Le principe est l’aspiration de l’air qui va être accumulé et condensé, créant une pression faisant fonctionner tout l’engrenage.
Généralement, ce système de pompe à huile fonctionne avec un lest d’air qui permet d’éviter la formation de gouttelettes et d’évacuer l’air en le refoulant vers l’extérieur. Le problème avec ce genre de pompe est le refoulement de l’huile qui impose une filtration. Pour des cross beaucoup plus puissantes. En fait, on manipule la pompe à huile surtout pour les deux roues, et en particulier pour les motos cross, ceci pour accroître la puissance de l’engin. Cette manipulation, pour les fanatiques du bricolage et de l’adaptation mécaniques, consiste en la suppression complète de la pièce. Ce qui fait que toute la puissance utilisée par le vilebrequin va directement en grande partie vers la transmission. Mais cette manipulation exige du savoir-faire et de l’expérience en la matière car une erreur peut endommager le moteur. Cette erreur ne concerne pas l’extraction de la pièce mais plutôt le mélange d’huile. Car si on supprime la pompe, on doit faire soi-même son mélange d’huile. Et un mauvais mélange peut entraîner des dégâts. Il faut donc demander conseil auprès des experts en la matière.
Et puis faire le mélange d’huile prend du temps, demande un travail minutieux et précis. Si on ne dispose donc pas de temps et de savoir-faire, autant laisser sa moto dans son état d’origine. De toutes façons, cette manipulation intéresse surtout ceux qui font de leur cross une passion. Ils peuvent y consacrer beaucoup de temps pour l’entretien et les vérifications fréquentes. Monter un kit pour les 50 cc à boîtes, Il arrive que la puissance de notre moto ne nous satisfasse plus du tout, ou que nous voulions impressionner les autres et pour cela on peut faire passer le moteur d’origine à un régime supérieur par l’installation d’un kit destiné à cet effet. Mais pour ne pas faire éclater le moteur, il faut penser à une bonne lubrification de celui-ci. Elle consiste à modifier le temps d’ouverture de la pompe pour permettre donc une meilleure lubrification qui doit être proportionnelle au niveau du régime du moteur. Il ne s’agit donc pas tout simplement de changer le régime, il faut penser à toutes les conséquences que cela entraîne. La version WR. Version évoluée, elle présente en plus du standard un caractère plus performant, avec la présence d’une vanne de vidange des condensats d’huile à l’arrêt de la pompe.
L’équipement est également doté d’un système empêchant le refoulement en plus de la présence d’un lest d’air pour modifier la pression. La pompe à huile et les moteurs d’une voiture, les pièces du moteur ainsi que de ses accessoires sont essentiellement métalliques. Or ces métaux qui se frottent entre eux génèrent des frictions et du grippage, arrivant à bloquer tout mouvement du moteur. Le système de lubrification permet de remédier à ces inconvénients en appliquant entre ces pièces métalliques du moteur un lubrifiant qui empêche un contact direct entre elles et facilite ainsi leur glissement. D’une manière simplifiée, ce système de graissage peut être décrit comme suit : une pompe à huile qui fait fonctionner l’arbre à came, actionné grâce au mouvement transmis par le vilebrequin, envoie l’huile, qui est gardée dans la partie la plus basse du carter, sous pression sur toutes les pièces du moteur après un passage à travers le filtre à huile. Une pression d’huile insuffisante est signalée au conducteur par allumage d’une lampe témoin.

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